Pourquoi c’est si bon de rentrer à Dubai.
A toutes celles qui sont un peu nostalgiques après leurs « super-vacances » en France, Dubai Madame tient à vous mettre un peu de baume au cœur en proposant 10 bonnes raisons de se dire « Ah, comme c’est bon de rentrer à Dubai ! ».
On aurait sans doute aussi pu trouver 10 raisons de regretter la France, mais ça on ne fait pas !
Au commencement de cette nouvelle année scolaire, ensoleillée comme il se doit, Dubai Madame vous accompagne dans une approche positive : allons de l’avant avec enthousiasme et embrassons tout ce que la vie à Dubai nous offrira cette année encore … c’est tout nous et tout vous !
Alors, pourquoi se réjouir d’être de retour à Dubai ?
Parce que si votre mari ne peut pas venir vous chercher à l’aéroport, vous prenez un grand taxi, qui accepte de charger 3 enfants, une maman et 8 bagages sans rechigner !
Parce que pour rentrer à la maison, ledit taxi vous coûte le même prix en dirhams qu’en euros pour aller de CDG à Paris !
Parce qu’il fait beau et chaud (oui d’accord, un peu trop !)
Mais du coup, si on oublie de remettre le chauffe-eau sur « ON » le soir du retour, on a quand même une douche chaude le lendemain matin !
Parce que quand on s’arrête à la pompe, on n’a pas besoin de descendre de la voiture et de mettre les mains dans le gasoil (et en plus ça coûte moins cher !)
Parce qu’ici une pédicure est un luxe abordable !
Parce qu’à la caisse du Choitram, un jeune homme décharge, recharge et re-décharge votre caddie dans votre voiture !
Parce que la caissière vous dit bonjour avec un sourire !
Parce qu’à Dubai, sauf choix personnel tout à fait respectable, ce n’est plus vous qui faites le ménage, les lessives et la bouffe pour toute la famille !
Parce que le mascara Maybelline coûte 8 euros de moins qu’en France !
Parce qu’il n’y a pas d’embouteillages !
Parce qu’on peut se garer, souvent gratuitement, en moyenne à moins de 10 mns de l’endroit où l’on veut aller …
….et aussi parce qu’on retrouve toutes ses copines de Dubai, bon j’ai déjà dépassé 10, donc je m’arrête là, mais je pourrais continuer !